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La vision de Ya'juj et Ma'juj

  • Photo du rédacteur: junior16973
    junior16973
  • 13 nov. 2019
  • 11 min de lecture

Dernière mise à jour : 15 nov. 2019


Bien que la physionomie des Ya'juj et Ma'juj sont des points relevant du Mystère, ce qui va suivre ne sont ni des assertions ni des conjectures sur l'invisible, mais simplement une vision par la voie d'une révélation intérieure. Une vision qui a commencé à la fin des années 80' par une personne de confession musulmane qui semble avoir été témoin de la sortie d'un peuple connu sous le nom de Gog et Magog et dont le Saint-Coran mentionne quelques versets à ce sujet. Bien évidemment, il ne sait pas si cet événement eschatologique est lié à la fin des Temps mais son témoignage reste tout de même intéressant.


Aussi, je poursuivrai en relevant quelques scènes d'un extrait de film, d'un récit d'histoire, et d'un passage de l'Évangile afin de faire un rapprochement sur certains détails. Je précise que la vision repose sur un événement eschatologique lié à la Sourate les Prophètes, verset (96) :


« Jusqu'à ce que soient relâchés les Yâjûj et les Mâjûj et qu'ils se précipiteront de chaque hauteur ».


Et la Sourate La Caverne, verset (99) :


« Nous les laisserons, ce jour-là, déferler comme les flots les uns sur les autres, et on soufflera dans la Trompe et Nous les rassemblerons tous ».


Pour ne pas faire long voici en résumé le contenu de la vision :


« Tout a commencé durant la journée, je me vois marcher seule dans une région étendue de terres arides ; une zone sans verdures, sans arbres, ni collines ni montagnes, jusqu'à ce que j'atteigne une limite. Il fait très beau et le ciel est bleu sans le moindre nuage. Je vois à quelques mètres devant moi, une longue muraille faite de briques rectangulaires, peut-être des briques de bétons. Bien qu'il est difficile de déterminer l’âge de la muraille, sa couleur jaune pâle indique qu'elle était à l'origine de couleur blanche. Elle avait l'air abandonné et rien n'indiquait qu'elle était un ensemble de fortifications militaires.


Cependant, il est fort à parier qu'elle a été mise en place pour protéger les passants, les voyageurs d'un danger ou pour indiquer une frontière, une limite. D'ailleurs de là où je me trouve, la muraille est si longue que je n'ai pas la moindre idée d'où elle commence ni d'où elle se termine. Arriver en face de la muraille, je ne pouvais pas voir ce qui s'y trouvait de l'autre côté parce qu'elle était un peu haute, 2 m à 2, 50 m.


Mais curieux de vouloir y jeter un oeil, je me vois soudain poser à son sommet sans aucun effort. Avec étonnement, je m'aperçois qu'elle est construite juste au bord de ce qui me paraissait être un ravin ou peut-être une crête avec des pentes descendantes aboutissant sur une plaine.


J'avais déduit alors que la muraille avait sûrement été construite afin de protéger les passants de tomber ou de glisser dans le vide pendant la nuit.


De l'autre côté de la plaine, se dressait une autre muraille, celle-là était plutôt faite de terre et était plus haute que la muraille de briques (100 m voire 120 m). Dès lors, je constate deux murailles, une faite de briques et une autre de terres, et entre les deux se trouvent une vaste plaine dont une partie est verdoyante et l'autre aride. Au bout de la plaine se trouve une entrée, un passage qui mène à un autre endroit du monde. Là-bas, tout est d'un vert sombre.


Là, à l'entrée se tiennent fièrement dressées deux belles collines jumelles et verdoyantes. Ces collines sont d'une hauteur de (80 m à 100 m). Jumelles parce qu'elles ont la même taille, la même forme géométrique, la même symétrie ce qui est impossible et pourtant c'est le cas. Bien qu'on ne trouve pas sur terre deux arbres identiques, deux montagnes identiques (ayant la même symétrie), ici elles existent bel et bien. On a l'impression en les contemplant qu'elles sont sacrées.


Verdoyantes parce qu'elles sont vertes, c'est-à-dire qu'elles sont recouvertes de forêts de feuillus. D'ailleurs, la formation de ces deux collines jumelles font incontestablement partie des miracles que la nature a opéré dans cette région. Et si elles ne viennent pas de la nature, alors j'aurai beaucoup de mal à croire que c'est l'oeuvre de l'homme. Quand bien même je dois le reconnaître, elles ont une grande ressemblance avec les cornes en forme de pain de sucre.


Vraiment, elles semblent tout droit sorti d'un film de science-fiction. Mais d'une certaine manière, on trouve une très légère ressemblance avec les montagnes karstiques (Chine).


En voici un exemple:

Or, c'est deux collines jumelles sont situées dans un espace mystérieux de la terre et celui qui marque peut-être le plus les esprits de ceux qui les découvrent. Rendez-vous compte, deux murailles et deux collines jumelles au même endroit. Peut-être que finalement, leurs présences sont là pour cacher à la vue du monde le seul lieu dont l'entrée donne accès à un monde encore inconnu.


Par ailleurs, il est impossible de localiser la région. Il est situé de façon à ce que personne ne le remarque que ça soit à partir des cieux ou de la terre. La configuration du lieu est tracée par la main d'un génie et de toute mon existence, je n'ai jamais rien vu de pareil.


On peut apercevoir derrière ces deux collines jumelles, bien que difficilement, une forêt ou quelque chose qui ressemble à de la végétation, une végétation très sombre au point de donner des frayeurs, des frissons. Et quelques pas plus loin, une haute montagne d'une allure imposante accompagne les deux collines jumelles.


Bien que je regardais un peu partout autour de moi, mon regard revenait à chaque fois sur ces deux collines jumelles comme si je devais m'attendre à un événement qui allait se produire d'ici peu. Et c'était le cas, puisque quelques instants après, je vis au pieds même des deux collines jumelles un passage tellement étroit que l'accès y était extrêmement difficile, voire impossible. Les pieds des collines se touchaient presque, il y avait que très peu d'écart. D'ailleurs une fois sur place, on y voit ni barrière, ni mur mais uniquement un Remblai en forme de rocs d'aciers. Il était très pénible de marcher dessus parce qu'il y avait comme des piques, un peu à la manière des hérissons ou quelques chose qui ressemblait à des pointes de fers. Mais il fallait le traverser parce que c'était le seul passage qui donnait accès à une autre partie du monde.


En avançant un peu plus loin, je vis une tête et la moitié du corps d'une personne qui essayait avec toutes les peines du monde de sortir d'un très petit espace. Je ne comprenais pas pourquoi il mettait autant de temps pour se libérer.


En le voyant, j'avais l'impression qu'il se trouvait coincé entre la terre et une autre région de la terre différente de la notre. Mais au bout du compte, après de longs efforts, il a finalement réussi. Le voilà enfin sorti ! Aussitôt après, il aide un autre à sortir et ainsi de suite l'un après l'autre. Après quoi, il se met à courir, un autre se met à le suivre au pas de course juste derrière lui et ainsi de suite, le nombre ne cesse de grandir à une vitesse hallucinante au point ou quelqu'un me murmura à l'esprit :


"Voici les Ya'juj et les Ma'juj !"


Je les vois tous courir le long de la plaine dans ma direction et je peux même les décrire. C'est un peuple primitif, ils portent tous des tuniques de poils en peaux d'animaux (chèvres, chameaux, etc...) avec une ceinture autour des reins. Pour certain la couleur était brune, d'autres portaient des tuniques de poils en peaux de couleur blanches, noires, etc.


Ces étoffes à sayons de peaux d'animaux recouvrent une partie de leurs corps, des épaules jusqu'à environ une légère partie des cuisses. Le visage, les bras et une partie des jambes restaient visibles. Ils ont la peau gris sombre avec des marques de brûlures sur une partie de leurs corps.


Leurs cheveux sont courts ; noirs pour certains ; roux pour une autre partie et, bruns pour d'autres. On peut facilement conclure qu'ils les coupent avec des matériaux de la nature. Ils ont des yeux petits et noirs, mais certains d'entres eux ont des yeux tout noirs sans blancs, ils jettent des regards cruels et ténébreux. Ils sont imberbes, ni barbes ni moustaches et leurs visages sont jeunes, froids et sans expressions. Ils sont petits de tailles voire 1,50 m à 1,60 m. Au niveau de la corpulence, ils ont des corps fermes, secs et proche de la minceur sans pourtant être mince. Ils n'ont pas des corps d'athlètes et pourtant ils sont plus forts et plus redoutables que les plus courageux des athlètes. Ils ont une ressemblance avec les peuples d'Asie notamment les Ouzbeks. Mais, il peut s'agir de mélanges (Turcs, Ouzbeks, Mongoles etc...).


D'autre part, j'aperçu une femme qui tenait dans ses bras un enfant, elle se déplaçait en courant rapidement tout en se tenant au milieu de la horde, comme si elle était importante, comme si elle devait être protégé. Elle avait une longue et belle chevelure rousse et son corps était entièrement recouvert de vêtement de poils d'animaux de couleur brun foncé à l'exception de ses bras et ses pieds. Elle avait un regard et une présence qui m'a laissé hors de moi !


Là c'est certain, c'est un autre type de genre humain.


Tous les hommes sont armés d'une lance. Aucun d'eux ne portaient des casques, des boucliers, des cuirasses, d'épées ou d'arcs, mais seulement des lances longues de deux mètres avec à son bout une lame de métal, et également quelque chose qui ressemblait à une hache ou un poignard. Ils ne se déplacent pas en chevaux, bien au contraire, ils combattent tous à pied et sont les premiers à attaquer.


Néanmoins, en les regardant on voit bien qu'ils ont l'apparence d'hommes, d'êtres humains, mais dans leur déplacement on est vite amené à se rendre compte qu'ils sont intérieurement autres choses. Parce qu'ils courent sans se fatiguer, sans transpirer, sans aucune expression, et cela avec une rapidité qui dépasse l'entendement. Une fois arrivé à la muraille, ils grimpent puis ils sautent les uns au-dessus des autres sans que l'un ne touche l'autre et voilà qu'ensuite ils tuent en portant des coups de lance, toutes les personnes qui se trouvent sur leur chemin.


Enfin, ce peuple combat par groupe formé de trois personnes qui portent en même temps des coups de lance sur celui ou celle qui se trouve sur leur chemin, aussitôt après, ils continuent à courir et ceux qui passent par là, après eux, s'assurent qu'ils sont tous bien morts. Ils ne connaissent pas la marche, ou ils courent ou ils sautent, les uns au-dessus des autres, sans qu'un seul ne touche l'autre et tout cela avec une vitesse qui défie la gravité. Et quand ils s'arrêtent, on les voit en position légèrement accroupie.


Ce qui est effrayant, c'est leur grande cruauté et leur nombre qui ne cesse de grandir, toujours de plus en plus nombreux. Au point ou celui qui les voit arriver de loin sera pris d'une si grande frayeur qu'il cherchera un lieu où se cacher.


Et tout cela s'est passé soudainement, par surprise, sans que personne ne s'y attendait. Pendant une belle journée ensoleillée.


Ici se termine la vision eschatologique. Maintenant, je vais faire un lien avec le court extrait du film intitulé "La Grande Muraille" ci-dessous, et tenter de faire une comparaison:

On peut voir dans cet extrait des points communs avec la « vision de Ya'juj et Ma'juj ». Par exemple, dans le décor de la scène du film on remarque deux barrières (murailles) qui se font faces, et au bout se dressent deux petites montagnes ainsi qu'une grande qui s'impose. Et enfin, la sortie soudaine et rapide des Tao-Tei. Sans oublier la reine qui est protégé par une horde.


Il y a de quoi être très surpris. C'est même troublant de constater que la vision faite par cette personne dans les années 80' à d'une manière ou d'une autre une ressemblance avec cette partie du film qui a paru seulement 30 ans après.


D'autre part, si on regarde le film en entier on découvre un échange assez intéressant entre William Garin et le Stratège Wang concernant le mystère qui entoure les Tao-Tei.


William Garin : Où sont les Tao-Tei ?


Stratège Wang : Dans les montagnes, ils se regroupent.


William Garin : Mais d'où viennent-ils ?


Stratège Wang : Il y a 20 siècles environ vivait un empereur dont la cupidité coûtait une profonde souffrance à toute la Chine. Les Cieux envoyèrent un météore qui en frappant la montagne Gowou la rendit verte et libéra les Tao Tey (...) Ils viennent nous rappeler ce qu'il advient lorsque l'on donne libre cours à la cupidité. Ils dévorent tout vivant ou mort et apporte de la nourriture à leur reine (...).


Dans le film, le Stratège Wang mentionne « 20 siècles environ ».


C'est mot pour mot ce que dit un historien. Parce qu'après une enquête, je découvre avec étonnement le nom de Rachid ed-Din, un juif convertit au shî'isme duodécimain, qui raconte qu'à une époque qu'il fixe à « environ 20 siècles » avant celle où il écrivait, c'est-à-dire 600 av. J.-C, l'année de Cyrus II, les Mongols et les Turks se firent la guerre, etc (...). Suite dans le lien ci-dessous.


Plus loin, il cite : Douboun-Bayan épousa une femme de la tribu de Kourlas nommée Alankava (la Biche de lumière), fille de Youldouz, descendant de Youldouz Khan, fils d'Oughouz et par conséquent des turks. Il en eut deux fils, Boulkounout et Boukounout, qui sont les ancêtres des Mongols dits Darlikin.


Douboun-Bayan mourut jeune. Quelque temps après qu'elle fut devenue veuve, Alankava était couchée dans sa tente quand elle aperçut tout à coup une grande lumière qui l'inonda et lui pénétra dans le ventre. Suivant Rachid ed-Din, cette lumière entra par la fenêtre; tandis que dans l'inscription funéraire de Timour à Samarcande, il est dit qu'elle tomba du haut de la porte. Elle fut terrifiée de ce prodige et n'osa en parler à personne ; au bout de quelque temps, elle s'aperçut qu'elle était enceinte et ne put bientôt dissimuler son état aux frères et parents de son mari, qui, suivant les usages mongols, avaient tous les droits sur elle. Comme ils lui reprochaient durement sa conduite, elle leur jura qu'elle avait conçu sans la participation d'un homme, mais que toutes les nuits elle voyait en songe un jeune homme qui se glissait dans sa couche; elle leur prédit en même temps que les descendants des enfants qu'elle mettrait au monde soumettraient l'univers. 



Ce n'est pas tout, dans la vision la personne raconte que ce peuple porte des vêtements de poils d'animaux avec une ceinture autour des reins. Voici ce qu'on trouve dans la Bible concernant les tenues vestimentaires du prophète Élie et du prophète Jean.


Dans le deuxième Livre des Rois (1:08) :


Ils répondirent : « C'était un homme portant un vêtement de poils et une ceinture de cuir autour des reins ».


Il déclara : « C'est Élie de Tishbé ».



Dans l'Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (1:06) :


Jean était « vêtu de poil de chameau », avec une « ceinture de cuir autour des reins » ; il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.



Élie et Jean-Baptiste étaient deux puissants prophètes oints d'un seul Esprit, comme le témoigne Luc 1:17. Ils étaient habillés en vêtements de poils, et ceints de cuir. Non pas parce qu'ils manquaient de moyens pour s'acheter des habits précieux, mais parce qu'ils voulaient se démarquer de ceux qui sont en quête effrénée des choses matérielles.


Pour terminer, le Saint-Coran cite des versets qui vont dans le sens de la « vision de Ya'juj et Ma'juj » comme par exemple, les deux Barrières (السَّدَّيْنِ) le Remblai (رَدْمً) et les deux montagnes (الصَّدَفَيْنِ).


Dans le Livre de l'Apocalypse (20:1), il y a deux termes qui indiquent d'une part que Satan est enfermé dans un abîme, et d'autre part qu'il y sera relâché :


« Alors j'ai vu un ange qui descendait du ciel ; il tenait à la main la clé (المفتاح) de l'abîme et une énorme chaîne ».


Sourate les Prophètes (96):


« Jusqu'à ce que soient "relâchés (فُتِحَتْ)" les Yâjûj et les Mâjûj et qu'ils se précipiteront de chaque hauteur ».


Le Livre de l'Apocalypse (20:7) :


« Et quand les mille ans seront arrivés à leur terme, Satan sera "relâché" ».



Il y a le terme biblique "La Clé" « Miftah » et le terme coranique "Relâché" « Fotihat » qui ne sont pas pareil mais qui laissent tout de même penser que les Ya'juj et Ma'juj ont été peut-être comme Satan enfermés dans un abîme.


Peut-être que la Sourate la Caverne (97) allait dans ce sens :


« Ils ne purent ni l'escalader ni l'ébrécher ».


« Mais nul n'en connaît l'interprétation, à part Dieu » (Sourate 3:07)


Dans la Communauté des Croyants, il arrive que certains vivent les événements coraniques sous formes d'écritures, d'autres sous formes d'inspirations, d'autres sous formes d'événements spirituels (révélations), etc.


J'ajoute une récente découverte :


« Un mur mystérieux long de 115 kilomètres découvert en Iran ».


Article:



Pour ceux qui aiment la lecture je vous partage deux articles intitulés "Un autre regard sur Dhul Qarnayn et la « Barrière » de Gog et Magog". On y trouve des passages intéressants :


Article:



Article:



Avec une cordiale amitié, Rose Rouge.


 
 
 

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